Il était une fois............... un peu de moi.

Publié le par Farfadette

Il était une fois, une Farfadette qui devait publier un article pour faire disparaître la pub de son blog (et qui n'avait pas envie de vous faire encore le coup de la poussière à nettoyer, des araignées à enlever, touça, touça).


Il était une fois une Farfadette qui écrivait tout plein d'articles..... dans sa tête.


Il était une fois une Farfadette qui écrivait des articles pour de vrai.... mais ne les terminait jamais. (genre celui-ci... écrit dans sa quasi totalité..... le 26 août !!!)


Il était une fois une Farfadette qui n'avait pas grand chose à vous montrer en scrap... voire rien. Parce qu'


Il était une fois une Farfadette qui commencait tout plein de choses et ne les terminait jamais.


Il était une fois une Farfadette qui avait tout plein d'idées dans la tête mais ne les mettait pas à éxécution. 


Il était une fois une Farfadette reine de la procrastination. Au stade où on ne repousse pas à demain mais à après-demain.... de l'année prochaine !


Il était une fois une Farfadette trop cérébrale, trop rêveuse. Qui rêvait sa vie, rêvait ses réas, sans jamais passer à la réalité, à l'action.


Il était une fois une Farfadette qui ne savait pas cultiver l'amitié. Aimant sincèrement ses amies (de la vraie vie, ou de la vie virtuelle, parce qu'il y a de vraies rencontres derrière l'écran) mais ne sachant pas leur montrer.


Il était une fois une Farfadette toujours très étonnée de recevoir, ne sachant pas recevoir, ne sachant pas remercier.


Il était une fois une Farfadette exigente, perfectionniste, éternelle insatisfaite, qui plutôt que de mal faire, ne faisait plus. N'offrant pas, n'envoyant pas (peur du jamais assez, jamais assez bien).


Il était une fois une Farfadette fort mécontente d'elle-même (comme 345 jours dans l'année. Reste 20 me direz-vous. Voui. Vous en prenez 15 de maladie pendant lesquels je suis encore plus ronchonchon, donc totalement infréquentable et le reste... vous répartissez quelques heures de ci de là d'autosatisfaction qui doivent, bon an mal an, donner 5 jours).


Il était une fois une Farfadette qui jouait toute seule à un jeu. Même qu'elle est super fortiche. Y a qu'elle qui connait les règles. Les autres jouent aussi, mais sans le savoir. Ca s'appelle : "Tss tss ! Z'aurez pas confiance en moi, l'en n'est pas question !"


Il était une fois une Farfadette qui gérait très mal un stress quasi-constant, un mauvais stress, celui qui bloque, celui qui empêche d'agir. (mon système digestif ne me remercie pas d'ailleurs)


Il était une fois une Farfadette qui culpabilisait constammment de ne pas faire et qui du coup en faisait encore moins.


Il était une fois une Farfadette qui faisant une tentative d'excuse auprès de tout plein de gens en forme d'article.

 

 

 

INTERRUPTION MOMENTANEE

 

 

19 septembre, reprise  (ayant été interrompue par Môssieur et de viles activités quotidiennes ce jour-là... et puis peu ou pas d'allumage d'ordi depuis)

 

Il est une fois une Farfadette qui s'est déconnectée.


Il est une fois une Farfadette qui renoue avec elle-même.


Il est une fois une Farfadette qui essaie de se connaître et de s'assumer, comme elle ne l'a peut-être jamais fait (y s'rait temps vu son grand âge ).


Il est une fois une Farfadette qui fait les choses les unes après les autres... jusqu'au bout.

 

Il est une fois une Farfadette qui apprend à être dans l'agir.


Il est une fois uen Farfadette qui prend du recul.


Il est une fois une Farfadette qui se soigne (beuhhh nannnnn, elle prend pas des pitites pilules roses)  par la lecture (merci à Alain et ses "Propos" notamment "Propos sur le bonheur"... en boucle), par la musique. Et par la vie, tout simplement.


Il est une fois une Farfadette qui (n'ayant jamais été mal) ne va pas bien. Non. Elle va TRES bien.


 

Merci de m'avoir lue jusqu'au bout.


 

PS : Il était une fois, il est une fois, il sera une fois, une Farfadette qui n'attendait rien. Alors, exceptionnnellement, y a de la censure dans l'air (beurk, beurk, beurk), les commentaires sont bloqués (oui bah sado, d'accord, mais maso... faut pas déc' quand même).

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